Non-violence

Cet ouvrage revient sur les fondements théoriques de la non-violence, philosophie ayant donné naissance à une stratégie de lutte qui constitue une force de transformation radicale et populaire.

La non-violence reste pour beaucoup assimilée à un pacifisme béat, à une posture naïve, donc potentiellement dangereuse quand le terrorisme a déjà frappé. Pourtant, au regard de l’engrenage destructeur de la haine, il semble aujourd’hui crucial de considérer l’idée d’une réponse non-violente.

Cet ouvrage étudie le conflit comme un fait social porteur d’opportunités, sur différents terrains : les violences dans la ville, les violences produites par les politiques publiques sur l’asile et les migrations ou encore les réponses politiques aux menaces du terrorisme.

Ce livre est celui d’un soldat ayant exercé de hautes responsabilités opérationnelles. Il relève autant du témoignage personnel que de la réflexion abstraite. Avec une conviction communicative, l’auteur proclame sa foi en une utopie aussi vieille que la guerre : la paix du monde.

Ce récit dense nous fait revivre la lutte héroïque et passionnée d’une mère, qui a un rôle exemplaire dans le mouvement des « Mères de la place de Mai ».

Pour une stratégie civile d’intervention et pour une diplomatie de la médiation dans la gestion des conflits

Expression des émotions, affirmation de soi, communication non-violente, gestion constructive des conflits constituent la base de ces savoir-faire et savoir être de “première nécessité”.

Montrer l’utilité de recourir à la médiation d’un tiers.

À partir des archives de l’organisation, une série de fiches sur les démarches de réconciliation et de construction de la paix entreprises par des Français et des Allemands.

Alors qu’il fut toujours demandé aux tenants de la non-violence de faire la preuve de l’efficacité de leurs thèses, ce message collectif souligne qu’il faut non seulement proposer des méthodes, mais s’en prendre aussi à l’idéologie de la violence.