Les membres de ce réseau souhaitent créer une dynamique collective afin de :
– mettre en réseau et promouvoir les initiatives de gestion in situ de la biodiversité cultivée ; - oeuvrer pour l’émergence d’autres schémas de sélection, plus participatifs, adaptés aux agricultures biologiques, biodynamiques et paysannes
– oeuvrer à la reconnaissance technique, scientifique et juridique des pratiques paysannes de production de semences et plants. La question des droits des agriculteurs sur les semences et la biodiversité cultivée se posant à l’échelle mondiale (traités internationaux, généralisation des accords sur la propriété intellectuelle, perte de biodiversité), le réseau a d’ores et déjà développé des liens particuliers avec les autres pays européens (Allemagne, Espagne, Italie, Portugal, Roumanie, Pologne), avec les pays du bassin méditerranéen, le Mali et le Brésil entre autres.