Aménager les paysages de l’après-pétrole

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L’ère des énergies fossiles abondantes et bon marché des xxe et xxie siècle a favorisé le déploiement des voies rapides et des grands bassins urbains, effaçant radicalement les configurations territoriales héritées des âges précédents. Aujourd’hui, la raréfaction de ces ressources et les menaces que notre mode de développement fait peser sur le fonctionnement de l’atmosphère terrestre comme sur le milieu vivant invitent nos sociétés à revoir leur modèle et à l’affiner. Pour remédier au gaspillage des terres dû à l’urbanisation incoordonnée, pour éviter le temps excessif passé dans les trajets et les déséquilibres graves sur les écosystèmes qu’induisent les modes d’exploitation

intensifs de l’agriculture, nous devons imaginer des solutions neuves. Le monde de l’après-pétrole reste à inventer. En retrouvant le fil conducteur du paysage et de ses spécificités, en se fondant sur les singularités locales, en associant les habitants aux décisions à prendre, la transition vers un développement durable et harmonieux en sera facilitée. Une nouvelle voie s’ouvre en faveur d’un aménagement des territoires plus économe et susceptible d’apporter une vie meilleure aux générations à venir.

Presse

Presse

« Notre-Dame-des-Landes, un projet désuet ? » : écouter Régis Ambroise dans l’émission « C’est pas du vent » sur RFI.

« Le paysage s’invite à la COP 21 » : lire l’interview de Régis Ambroise dans Le Moniteur.

« ‘Homo natura’, comme le disait Spinoza » : lire l’interview d’Odile Marcel dans la revue Espaces naturels.

Lire la recension dans France culture.

Lire la recension dans Alternatives économiques.

Lire la recension de Christophe Bayle dans la revue Urbanisme.

Lire la présentation de Cathy Lafon du blog Ma planète hébergé par Sud-Ouest.

Lire la recension dans Environnement magazine.

L’ouvrage a été retenu pour l’épreuve orale d’admission du concours commun d’entrée en 1re année de DEP (diplôme d’État de paysagiste) en 2018.