La réforme de l’Université doit transformer l’organisation de la connaissance, aider à affronter les problèmes fondamentaux des individus, des sociétés et de l’humanité.
Les réflexions de Bouddhistes, chrétiens, baha’ï, hindouistes, juifs, musulmans, aborigènes d’Australie, animistes d’Afrique, Incas, Indiens du Canada et du Brésil, Lapons matérialistes et adeptes de l’universalisme ou francs-maçons.